La presente publicación constituye un extracto [ES:EN:FR] del texto completo incluido en el libro Comfort and Domestic Space in Modern Spain , editado por Susan Larson y publicado por University of Toronto Press en 2024. El libro, publicado en inglés, reflexiona sobre como el cine español ha mostrado y desarrollado con el paso del tiempo el concepto de confort doméstico. Dividido en cuatro secciones, los artículos que se incluyen analizan como, desde sus primeras producciones hasta nuestros días, el cine español ha mostrado la configuración y uso de cuatro espacios domésticos: la cocina, el salón, el cuarto de baño y las habitaciones. Las ilustraciones en el libro son en blanco y negro. Se incluyen aquí, junto al resumen del artículo, las perspectivas en color de las cocinas analizadas realizadas por la arquitecta Ángeles Torres Pérez a partir de un levantamiento bidimensional de las mismas, trazado por el autor del presente texto.
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El artículo explora el trabajo del escenógrafo checo Josef Svoboda, centrando la atención en su interés por integrar el teatro y las imágenes en movimiento. Se analizan diversas escenografías desarrolladas entre 1950 y 1970 particularmente concebidas con este propósito, integrando en muchos casos tecnologías creadas por el propio Svoboda, innovadoras en su momento, y que hoy en día se han convertido en habituales.
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El artículo analiza cómo relata Wim Wenders la ciudad dividida en su película El cielo sobre Berlín (1987), estudiando qué mirada ejerce sobre el límite que construye la coexistencia forzada de dos ciudades, cómo nos traslada la realidad de una ciudad dividida por una frontera física e ideológica, qué localizaciones de la ciudad selecciona, qué actores escoge como vehículo para narrar su historia, y qué relaciones mantienen los mismos con el espacio urbano
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El cine y la arquitectura comparten una historia de encuentros. El séptimo arte ha necesitado de la arquitectura, del marco construido, como telón de fondo de las acciones desarrolladas en la pantalla. El cine ha permitido establecer una mirada diferente sobre el territorio artificialmente construido en el que los hombres habitamos, una mirada subjetiva, intencionada y distante. El diccionario aborda la posibilidad de diseccionar intencionadamente el trabajo del arquitecto y del cineasta mediante un posible conjunto de términos comunes.
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René Magritte publie « Les mots et les images » en 1929. L'architecture de ses peintures et ses expériences cinématographiques s'inspirent de ce hiéroglyphe à lectures multiples.
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Ce texte est né comme un commentaire personnel sur un riche dialogue à double sens établi entre l'écrivain Haruki Murakami dans son livre De la musique. Conversations. En cours de route, d'autres interlocuteurs se sont fictivement joints à la conversation.
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Alain Corneau avoue s'être inspiré de l'œuvre des peintres baroques Lubin Baugin et Georges de La Tour pour étudier la composition de certains cadres et le traitement intime de la lumière dans le film Tous les matins du monde, sorti en 1981.
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A partir d'une analyse strictement visuelle des images du film, l'article étudie la possibilité d'élaborer une éventuelle reconstruction graphique des espaces utilisés lors du tournage d'Ascenseur pour l'échafaud [Louis Malle, 1958].
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En 1963, six ans après la mort de son propriétaire et la même année du décès de l’architecte Adalberto Libera, Jean Luc Godard choisit la maison Malaparte pour son film Le Mepris, basé sur un roman de l'écrivain romain Alberto Moravia. Ce texte est un extrait de l'article Tres [+1] personajes en busca de terraza, publié en 2009 dans le livre CASA x CASA, qui analyse le tournage réalisé dans la maison.
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Je ne sais pas si je saurai bien l'expliquer. Plus qu'un motif, c'est un instinct. C'est une impulsion qui donne envie et colère d'apprendre, de savoir. Je pense que sans ce point d'irritation, d'intransigeance, de haine, il n'y a pas d'apprentissage.
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L'architecte Marta Peris Eugenio vient de publier un document révélateur sur l'un des plus importants cinéastes du XXe siècle et, par surcroît, l'un des plus intéressants pour les architectes qui considèrent le cinéma comme plus qu'un simple divertissement: La casa de Ozu [La maison de Ozu]. Un livre qui, esquivant le point de vue historique et documentaire qui caractérise la recherche dans d’autres disciplines, travaille sur le point de vue particulier du concepteur, avec une regard professionnelle qui se rapporte à l’existant avec une certaine envie d’appropriation, une curiosité plus technique que historique, intéressé à dévoiler la manière dont les problèmes ont été résolus à partir de la logique du projet, en analysant les décisions visuelles et constructives qui ont été adoptées pour construire le film.
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Abada Editores a publié en janvier 2019 mon livre La mirada única. Un arquitecto piensa el cine [Le regard unique. Un architecte pense le cinéma]. Juan Deltell Pastor.
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NO-MOVIE POSTERS est bien plus qu’une allégorie, c’est une chanson d’amour au cinéma, à ses affiches promotionnelles, au dessin, à la photographie et à ces histoires amputées qui veulent voler mais n’ont pas des ailes.
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Le magazine JACK, initialement géré par le groupe de recherche portugais Ruptura Silenciosa, et actuellement publié sous les auspices du projet Jackbackpack, est l’une des rares publications qui analysent sérieusement la relation entre le cinéma et l’architecture. Le deuxième numéro a été récemment publié.
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De nombreux artistes de disciplines très diverses ont ressenti l'attrait d'inclure dans leurs œuvres un plan-séquence, une ressource formelle toujours difficile à réaliser. The Rope [Alfred Hitchcock, 1948], Touch of Evil [Orson Welles, 1957] ou Der Lauf der Dinge [Peter Fischli et David Weis] constituent des bons exemples.
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Le cinéma invente une nouvelle façon de reconnaître la ville. Il peut même le réinventer, à partir du regard étranger et intemporel avec lequel chaque cinéaste travaille.
Regarder c'est connaître et décider, deux pratiques étroitement liées à la condition humaine. Le cinéma, en quelque sorte, nous a appris à regarder nos villes d'un point de vue différent, en construisant dans nos esprits un faux souvenir des espaces urbains qu'il nous montre.
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Si une chose vaut la peine d'être faite une fois, cela vaut la peine de le faire encore et encore - l'explorer, l'examiner, exiger par sa répétition que le public la regarde.
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Un hôtel de Toronto a témoigné en juillet 1972 la première rencontre entre Glenn Gould et Bruno Monsaingeon. L'amitié fructueuse développée entre eux depuis 10 ans nous a légué un important ensemble de documents audio-visuels et de textes écrits, essentiels pour comprendre le processus créatif du pianiste, donnant des clés sans doute extrapolables à d'autres domaines créatifs tels que l'architecture.
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Pas possible croiser Jeanne Moreau au Boulevard Haussmann. Le même París où elle est née a témoigné le dernier 31 Juillet la silencieuse et domestique fermeture de son regard énigmatique et triste. Miles Davis est né deux ans avant, loin d'elle. Son regard était aussi triste, mais son décès ne fut pas silencieux, plutôt enragé, comme il a été tout au long de sa vie. Ils ont partagé une soirée inoubliable.
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La procédure abstraite dévie le travail architectonique vers l’aspect syntaxique, en donnant la priorité aux règles de construction formelle de l’objet lui-même; l’intérêt se déplace, alors, depuis les éléments vers les relations qui s’établissent entre eux et vers les principes de composition qui les règlent. lire la suite
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L'artiste américaine Mary Ellen Bute (1906-1983) est aujourd'hui reconnu comme une pionnière du cinéma d'animation, en particulier dans le domaine de ce qu'on appelle la musique visuelle.
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Le principe formel émerge des éléments structuraux qui lui sont inhérents. Un dôme n'est pas conçu au moment où se posent les questions du comment le construire.
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Todo lo que conozco proviene de mi trabajo. Conozco sólo lo que sé hacer. El hacer es mi única fuente de certidumbre. No tengo amor por el saber, pues ése es el presupuesto de mi ignorancia, pero sí por conocer, que, en cambio, representa mi posibilidad.
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Richard Neutra conçoit et construit entre 1934 et 1935 une maison pour le cinéaste Josef von Sternberg, quelques années après la première de son célèbre film Der Blaue Engel (L'Ange bleu, 1930). Alejandro de la Sota construit aussi en 1972 une maison pour la famille Guzman. Les deux bâtiments ont été démolis, à des époques différentes mais dans des circonstances très semblables.
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Sabina, una joven y atractiva fisioterapeuta y profesora de yoga a la que la vida siempre le ha sonreído lleva una existencia demasiado cómoda: abundante dinero familiar, un cómodo trabajo con excesivo tiempo libre, amoríos y fiestas frecuentes, salud inmejorable y todo tipo de comodidades. [Selección de trabajos de estudiantes de la asignatura Proyectos 2, Taller 5, Escuela técnica superior de Arquitectura de Valencia]
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Stefan Larson, artiste suédois résidant à Otsu (Japon) et créateur du mouvement artistique AUJIK, transforme en l'un de ses derniers projets multimédias (Spatial Bodies, 2016) la ville d'Osaka dans un organisme vivant.
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J’aime bien le jeu de la double vie, le monde de la fantaisie où tout peut arriver. La beauté de la fantaisie serait autrement sans le revers de la monnaie, la réalité.
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L'architecte et illustrateur italien Federico Babina a imaginé dans une de ses collections de dessins, intitulé Archidirector, une série de 27 maisons imaginaires inspirés par des célèbres cinéastes.
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Le pavillon de chasse Amalienburg, et en particulier son Spiegelsaal [Salle des miroirs] a été source d'inspiration pour de nombreuses œuvres de disciplines créatives très différentes.
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Stanley Kubrick utilise deux maisons différentes, la Jaffe House du TEAM 4 et la New House de Roy Stout et Patrick Litchfield, pour le tournage d’une des séquences plus impressionnantes du film A Clockwork Orange, l'agression domestique à l'écrivain Frank Alexander et sa femme.
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Le prix au meilleur long métrage du vingtième festival de cinéma AVANCA 2016 a été décerné au film Enclave, du réalisateur serbe Goran Radovanovic, aussi lauréat en 2011 avec le même prix.
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François Truffaut tourne à Lisbonne le début de La Peau Douce (1964). On analyse ici la possibilité de reconstruire graphiquement les décors du fragment Lisbonnais, exclusivement à travers des images du film. Résumé de l’article présenté aux Conférence Internationale AVANCA CINEMA 2016 le 28 de Juin.
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Le privilège du cinématographe c’est qu’il permet à un grand nombre de personnes de rêver ensemble le même rêve et de nous montrer, en outre, avec la rigueur du réalisme, les phantasmes de l’irréalité. Bref, c’est un admirable véhicule de poésie.
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Pierre Avezard, analphabète et affligé des graves maladies depuis sa naissance, consacra quarante ans de sa vie à récupérer le matériel inutilisable des décharges pour la construction d'un rêve, avec l'aide unique de ses mains: un énorme et magique installation animée qui est aujourd'hui possible de visiter au musée la Fabuloserie.
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Le plaisir esthétique mobilise les instruments de la connaissance, l’imagination et la compréhension, et est lié à la reconnaissance de la forme; c’est-à-dire, il comporte un jugement esthétique. lire la suite
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"Fue el 15 de Junio de 1767 cuando Cosimo Piovasco di Rondó, mi hermano, se sentó por última vez entre nosotros. Lo recuerdo como si fuera hoy. Estábamos en el comedor de nuestra villa de Ombrosa, las ventanas enmarcaban las tupidas ramas del gran acebo del parque. Era mediodía, y nuestra familia, siguiendo una antigua tradición, se sentaba a la mesa a esa hora, pese a que ya cundía entre los nobles la moda, llegada de la poca madrugadora Corte de Francia, de almorzar a media tarde. Soplaba un viento del mar, recuerdo, y se movían las hojas."
Selección de trabajos de estudiantes del Taller 5 de la Escuela Técnica Superior de Arquitectura de Valencia, resolviendo un encargo realizado por Viola, la hermana de Cósimo. (Curso 2014-2015)
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Il faut voir dans le végétal une construction artistique et architecturale à part entière. Outre une pulsion primitive qui produit de l’ornement et du rythme le végétal ne construit que des formes utilitaires. Il construit d’après ces mêmes règles statiques que doivent observer tous les bâtisseurs. Mais le végétal ne tombe jamais dans la sobriété gratuite ; il forme et façonne en obéissant à la logique et à la finalité utilitaire et il fait preuve d’une énergie primitive pour donner à tout ce qui la compose la forme artistique la plus aboutie.
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