Les cadrages (…) ils constituent le premier aspect de la participation créatrice de la caméra à l’enregistrement qu’elle fait de la réalité extérieure pour la transformer en matière artistique. Il s’agit ici de la composition du contenu de l’image, c’est-à-dire de la façon dont le réalisateur découpe et éventuellement organise le fragment de réalité qu’il présente à l’objectif et que se retrouvera identique sur l’écran. Le choix de la matière filmée est le stade élémentaire du travail créateur au cinéma : c’est le deuxième point, l’organisation du contenu du cadre qui nous occupe maintenant. Marcel Martin, Le langage cinématographique (1955)
lire la suite
El artículo explora el trabajo del escenógrafo checo Josef Svoboda, centrando la atención en su interés por integrar el teatro y las imágenes en movimiento. Se analizan diversas escenografías desarrolladas entre 1950 y 1970 particularmente concebidas con este propósito, integrando en muchos casos tecnologías creadas por el propio Svoboda, innovadoras en su momento, y que hoy en día se han convertido en habituales.
lire la suite
El artículo analiza cómo relata Wim Wenders la ciudad dividida en su película El cielo sobre Berlín (1987), estudiando qué mirada ejerce sobre el límite que construye la coexistencia forzada de dos ciudades, cómo nos traslada la realidad de una ciudad dividida por una frontera física e ideológica, qué localizaciones de la ciudad selecciona, qué actores escoge como vehículo para narrar su historia, y qué relaciones mantienen los mismos con el espacio urbano
lire la suite
El cine y la arquitectura comparten una historia de encuentros. El séptimo arte ha necesitado de la arquitectura, del marco construido, como telón de fondo de las acciones desarrolladas en la pantalla. El cine ha permitido establecer una mirada diferente sobre el territorio artificialmente construido en el que los hombres habitamos, una mirada subjetiva, intencionada y distante. El diccionario aborda la posibilidad de diseccionar intencionadamente el trabajo del arquitecto y del cineasta mediante un posible conjunto de términos comunes.
lire la suite
René Magritte publie « Les mots et les images » en 1929. L'architecture de ses peintures et ses expériences cinématographiques s'inspirent de ce hiéroglyphe à lectures multiples.
lire la suite
Ce texte est né comme un commentaire personnel sur un riche dialogue à double sens établi entre l'écrivain Haruki Murakami dans son livre De la musique. Conversations. En cours de route, d'autres interlocuteurs se sont fictivement joints à la conversation.
lire la suite
Alain Corneau avoue s'être inspiré de l'œuvre des peintres baroques Lubin Baugin et Georges de La Tour pour étudier la composition de certains cadres et le traitement intime de la lumière dans le film Tous les matins du monde, sorti en 1981.
lire la suite
A partir d'une analyse strictement visuelle des images du film, l'article étudie la possibilité d'élaborer une éventuelle reconstruction graphique des espaces utilisés lors du tournage d'Ascenseur pour l'échafaud [Louis Malle, 1958].
lire la suite
Philip Glass compose entre 1991 et 1996 une trilogie d'opéras basée sur trois films homonymes de Jean Cocteau. Travaillant toujours avec un profond respect et une grande admiration pour le réalisateur français Philip Glass réalise une transcription entre le champ cinématographique et le monde de l’opéra très différent dans les trois cas.
lire la suite
En 1963, six ans après la mort de son propriétaire et la même année du décès de l’architecte Adalberto Libera, Jean Luc Godard choisit la maison Malaparte pour son film Le Mepris, basé sur un roman de l'écrivain romain Alberto Moravia. Ce texte est un extrait de l'article Tres [+1] personajes en busca de terraza, publié en 2009 dans le livre CASA x CASA, qui analyse le tournage réalisé dans la maison.
lire la suite